Et si le consommateur détenait la clé du KYC «passeportable» ?

Article écrit par Shoyo

On parle indéniablement des data et de leur nécessaire protection. 

Ce sujet sensible concerne les régulateurs, l’ensemble des acteurs financiers aussi divers soient-ils, et bien sûr, les souscripteurs/ clients finaux.

Pour que des données soient utilisables avec fiabilité, sécurisation et à bon escient, il convient de les collecter au fil d’un parcours qui assure la protection de leur convoyage, mais aussi de savoir de façon dynamique les mettre à jour.

Il est aujourd’hui acquis qu’un KYC et tout autre questionnaire de connaissances clients ne seront pas disponibles en un seul et unique format applicable à l’ensemble des acteurs. Force est de constater qu’à l’intérieur même d’un groupe développant plusieurs métiers, il existe autant de KYC et de questionnaires clients qu’il existe de métiers différents.

Et pourtant, une analyse approfondie desdits questionnaires et fiches d’identité met en évidence que des mêmes réponses sont attendues, alors même qu’en amont les questions ont été posées dans un champ lexical différent.

Le prospect ou le client souscripteur ne peuvent donc se prévaloir de leur unique identité et de leur unique profil. Ils sont contraints de compléter autant de fiches et de questionnaires qu’il y a d’entités et de métiers différents.  

Dans un univers d’ « Open Banking and Insurancing » et donc de compétition majorée, il est important de donner réellement corps à l’expression « être centré clients ». Ceci sous-tend de limiter les irritants clients et de se mettre à sa place en qualité de « consommateur » sans renoncer aux exigences opérationnelles et règlementaires. Ceci sous-tend également d’alléger les tâches administratives des équipes internes au profit d’un temps de conseil et de majoration des compétences.

Un client connu et reconnu participera à l’amélioration du Net Promotor Score de l’entreprise. Il est donc souhaitable de l’associer avec fluidité et confiance dans une démarche de mise à jour régulière de son identité, de ses coordonnées et de son profil.

Toute solution traitant de la question des KYC et de la Connaissance Client nécessite de répondre aux attentes légitimes de trois composantes majeures : les régulateurs, les acteurs financiers, les consommateurs. Dès lors, elle se doit d’être à la fois globale et spécifique ; d’être à la fois d’une appropriation aisée et d’une grande exigence ; d’être à la fois au service des équipes de compliance, des équipes commerciales et des clients finaux. Elle se doit d’être un intermédiaire entre un souscripteur, propriétaire incontestable de ses données personnelles, et de multiples acteurs financiers, soucieux de conserver leur ADN, leur parcours client et leur parcours collaborateur.

La clé pour faire cohabiter l’ensemble de ces attentes s’appelle Shoyo. 

Shoyo est le 1er passeport data souscripteur crypté.

Prêt à être déployé, son lancement est officiel dans le cadre de la cinquième édition du Fin&Tech Summit.

Pascale Ribault, Advisor de Shoyo.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *